30 janvier 2008

Concert label Rude Awakening

Vendredi 01 Février à 20h00 à l’Oignon Givré
(46 rue de l’Université) à Montpellier.
Entrée libre.

Patrice Soletti (guitare, objets) + Emilie Lesbros (chant) + Gaëlle Reynaud (voix, texte) + invités...

Soirée de musiques improvisées aux frontières du texte, au frontière de la voix, articulée ou pas. Des duos, trios, soli et tutti, en pagaille et mélangés, des rencontres d’un soir ou de plus longue, c’est une soirée à corps croisés que nous vous proposons.

Dimanche 03 Février à 20h30 au Baloard
(21, Bd Louis Blanc) à Montpellier.
Entrée libre.

Les artistes du label Rude Awakening se réunissent tous les premiers dimanche de chaque mois au Baloard au tour d'un président de séance qui décide des orientations à prendre.

Faire de la musique le dimanche c'est joli même quand il pleut sous la douche...

Comme d'autres vont à l'église ou au boulot (c'est bientôt tout à fait possible...) et que désormais tout devient possible (souvenez vous c'était aujourd'hui !), nous avons décidé de meubler le Baloard de tendres "bibelots d'inanité sonore", en soirée, le premier dimanche de chaque mois. A tour de rôle et comme on va à l'abattoir en famille, un musicien du label prendra la direction d'un ensemble d'improvisation à géométrie forcément variable. Suivant les envies (salaces ou autres) et la sensibilité du gourou de circonstance les bruits silences et autres machins entre les deux vont s'ordonner ou pas, vous charmer ou vous charmer. Cela bien sûr sera chaque fois différent (des fois Aurélien sera derrière ses clarinettes des fois au bar des fois entre les deux) enfin on l'espère pour vous.

Souhaitant vous rencontrer nombreux (des fois on rêve), concernés, encerclés, en colère, vexés et pourquoi pas idolâtres (car c'est le dimanche) nous vous saluons...

Merci de diffuser l’info,
L’équipe de Rude Awakening Présente

le label ici

Devenez punk en 2 secondes




















Composez votre morceau de punk fastoche !

http://www.playitontheweb.com/games/Punk-O-Matic-full.htm


Merci Fluctuat

28 janvier 2008

Carla et Niko bossent pour Ryanair



















La présidence de la République française a fait savoir lundi qu'elle étudiait la possibilité de porter plainte contre la compagnie aérienne irlandaise Ryanair, dont une publicité reprend une photo de Nicolas Sarkozy et de sa compagne Carla Bruni.

Ryanair devrait lui offrir une rolex, ça passerait probablement mieux.

l'article de Libération ici

25 janvier 2008

Michel Petrucciani - Jouer de mieux en mieux



La commission Attali préconise une licence globale et s'oppose à Olivennes


Entre Denis Olivennes et Jacques Attali, qui bénéficiera du soutien de Nicolas Sarkozy ? Alors que le premier, patron de la FNAC, a rendu au Président de la République un rapport exigeant un renforcement des sanctions contre les téléchargeurs, le rapport Attali préconise une liberté du téléchargement financée par une contribution des fournisseurs d'accès à Internet...

Les membres de la commission Attali ont visiblement compris que la solution de la croissance pour la filière artistique ne passait pas par la répression, et l'affirment. "La copie physique, qui revient à vendre ce qu’on ne possède pas, obéit à la législation sur la contrefaçon et la piraterie. La copie virtuelle, qui revient à donner ce qu’on a reçu, est d’une autre nature", constate d'abord le rapport, qui tacle directement les solutions répressives proposées par le patron de la Fnac Denis Olivennes dans son rapport pour la lutte contre le téléchargement illégal. "La mise en place de mécanismes de contrôle des usages individuels (filtrages généraux, dispositifs de surveillance des échanges) constituerait un frein majeur à la croissance dans ce secteur clé".

"Même sous le contrôle d’une autorité indépendante ou d’un juge, ces mécanismes introduiraient une surveillance de nature à porter atteinte au respect de la vie privée
et aux libertés individuelles, tout à fait contraire aux exigences de la création et à la nature réelle de l’économie numérique".

"D’autres pays ont jusqu’à présent privilégié une logique contractuelle responsabilisant l’internaute et son fournisseur, démontrent qu’il est possible de concilier développement économique et liberté de téléchargement".

Le rapport propose que soit mis en place une rémunération versée par "les vrais bénéficiaires du téléchargements : les fournisseurs d'accès à Internet". "Il convient de faire verser par les fournisseurs d’accès Internet une contribution aux ayants droit auprès des différentes sociétés de gestion collective des droits d’auteur, sous la forme d’une rémunération assise sur le volume global d’échanges de fichiers vidéo ou musicaux. Cette contribution, qui pourra être répercutée sur les usagers, assurera une rémunération juste des artistes, en complément des revenus du spectacle vivant, des CD, des DVD, des abonnements au téléchargement et de toute autre source de revenu à venir, sans pour autant pénaliser le développement d’Internet".

Cette position exprimée par Jacques Attali et les membres de la commission pour la libération de la croissance n'est pas surprenante. Déjà il y a un an, M. Attali s'était déplacé au MIDEM, la grand-messe de l'industrie du disque, pour préconiser la gratuité du téléchargement. Récemment, il s'est opposé à certaines mesures votées par le Sénat pour renforcer la chasse aux pirates. Il a également préfacé le livre de Philippe Axel, la révolution musicale, dans lequel l'auteur prône la gratuité de la musique enregistrée.

"Tout ce que vous proposerez nous le ferons", avait prévenu le Président de la République. Ce matin, Nicolas Sarkozy a annoncé adhérer à "l'essentiel du rapport",à l'exception de trois mesures (la suppression des départements, la déreglementation de certaines professions, et la suppression du principe de précaution).

Les téléphones MP3 devraient bien être taxés

En décembre dernier, la commission d'Albis se réunissait afin de réfléchir aux conditions de taxation des téléphones mobiles multimédia. L'idée retenue était de leur appliquer la même grille que pour les baladeurs numériques, à savoir :

  • Jusqu'à 1 Go : 5 € HT
  • De 1 (exclu) à 5 Go : 6 € HT
  • De 5 (exclu) à 10 Go : 7 € HT
  • De 10 (exclu) à 20 Go : 8 €
  • Et ainsi de suite...

Mais la question qui restait en suspens, c'était de savoir comment différencier les mobiles multimédia des autres. En effet, si celle entre l'iPhone et un mobile qui ne lit pas de musique et facile à déterminer, il reste tout ce que la commission désignait sous le terme "d'intermédiaires". Les mobiles intermédiaires, à la différence des iPhone-like (appelés hybrides), seraient taxés autrement. Ils regroupent tous ces portables qui ont la possibilité de lire de la musique, mais sans que cela leur vaille d'être considérés comme des téléphones baladeurs.

Pour mettre un terme au flou de cette différenciation, la commission Albi s'est attelée au début de la semaine à y apporter des critères précis. Selon PCInpact, voilà ce qui a été retenu pour distinguer téléphones hybrides (même taxe que pour les baladeurs) des téléphones intermédiaires (autre taxe à déterminer) :

  • Une capacité de mémoire interne d’au moins 128 Mo.
  • Une ou plusieurs touches dédiées à la fonction lecture. Par exemple la touche "avion" qui permet de couper le téléphone et de ne s'en servir que comme baladeur.
  • La lecture de fichiers mp3 ou vidéo.


Vous remarquerez que si ces critères visent à distinguer l'iPhone des autres mobiles, il est plutôt cocasse que la commission parle de "touche dédiée" alors que le téléphone d'Apple n'en a pas, justement, de touches.

Pour ce qui relève des téléphones intermédiaires, la taxe sera moins onéreuse. Les industriels ont réussi à pousser la commission à commander des études pour déterminer la façon dont les consommateurs les utilisent pour écouter de la musique. Elles serviront de base pour penser une rémunération plus "juste" - ou plutôt moins subjective. Le barème des baladeurs numériques, eux, n'avaient pas bénéficié de cette même faveur.

Le vote de principe pour la taxation des mobiles hybrides aura lieu le 19 février. Son application est attendue pour avril, mai 2008. Elle se traduira vraisemblablement par l'augmentation du prix de l'iPhone de 7 € HT.

merci ratatium

Eric Dolphy

Le label Lenka Lente nous annonce la sortie d'un live ayant pour sujet Eric Dolphy :

http://www.dailymotion.com/video/x44n5x_biographie-de-dolphy_music


Le label ici

Un coupable parfait

Les analystes sceptiques

Mais de nombreux analystes restent sceptiques devant les explications de la Société Générales, selon lesquelles un seul homme serait responsable de 4,9 milliards d'euros de pertes.
"Le sentiment des salles de marchés, c'est qu'il n'est pas possible qu'un individu seul ait pu faire cela. La Société Générale aurait chargé la barque sur le thème de la fraude pour faire passer plusieurs mauvaises opérations de marché", avance Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, interrogé par l'AFP. De son côté, Marc Touati, économiste chez Global Equities, affirme que "tous les gens qui travaillent dans les banques savent que, quand les pertes atteignent un certain niveau, on coupe les positions. Des pertes peuvent atteindre 100-200 millions d'euros, mais 5 milliards, c'est impossible"

l'article du nouvel observateur ici

19 janvier 2008

Un bras robot chef d'orchestre

Dans la rubrique : n'importe qwouaaaaa :



à quand une zigounette articulée ?

Rencontre sur les problématiques compositionnelles

24 janvier à 18 heures au Centre de documentation de la musique
contemporaine (Cdmc)
Rencontre sur les problématiques compositionnelles de Franck
Bedrossian (1971) et Raphaël Cendo (1975). modérateur : Omer Corlaix,
producteur à France Musique.

De l’excès du son

Avant-propos d'Omer Corlaix

Le rock et la saturation ( Étienne Guillochet )

La monstruosité, de l'œil à l'oreille ( Franck Bedrossian )

Moment musical : Franck Bedrossian, « La solitude du coureur de fond »
( Pierre-Stéphane Meugé, saxophone solo )

De la saturation au chaos ( Nicolas Darbon )

Les paramètres de la saturation ( Raphaël Cendo )

De la saturation au parasitage du son, du jazz aux musiques du monde (
Nicolas Brémaud )

Co-production Cdmc - Ensemble 2e2m —Entré libre, Inscription souhaitée
au 01 47 15 49 86

Centre de documentation de la musique contemporaine, 16 place de la
Fontaine-aux-Lions, 75019 Paris — Tél. : 01 47 15 49 86 ; Fax : 01 47
15 49 89 — Courriel : cdmc@cdmc.asso.fr — Site :
http://www.cdmc.asso.fr

Une ligne téléphonique Etats-Unis-Iran dans un parc à New-York ce week-end

NEW YORK (AFP) - Un groupe américain favorable à des négociations entre Washington et l'Iran va installer trois lignes téléphoniques dans un parc ce week-end pour que les passants discutent avec des Iraniens.

"Americains et Iraniens entameront un dialogue important samedi entre 11H00 et 13H00", annonce dans un communiqué un groupe de pression dénommé "ça suffit la peur".

Les militants se retrouveront dans un parc du sud de Manhattan et utiliseront trois vieux appareils téléphoniques rouges, en référence à la ligne téléphonique qui connectait les dirigeants américains et soviétiques durant la Guerre Froide.

"Notre but est d'engager une discussion d'individu à individu", a annoncé dans le communiqué Nick Jehlen, cofondateur de "ça suffit la peur".



la suite de l'article yahoo news

14 janvier 2008

15 leçons pour l'industrie du disque

En ce qui concerne la chute des majors du disque, tout le monde a sa petite théorie. Cette-fois ci, le billet nous vient de Seth Godin, spécialiste marketing et auteur du best-seller "All Marketers Are Liars". Sur son blog, il publie les 15 règles à tirer de l'expérience de l'industrie du disque.



Règle N° 1 : Ce qui est nouveau n'est jamais aussi bien que ce qui est ancien, du moins pour l'instant Présentée comme la plus importante. Cette règle évoque vraisemblablement le fait que les nouveaux modèles économiques induits par Internet ne sont certes pas encore au point, mais qu'ils deviendront meilleurs que l'ancien modèle. "Mais si vous attendez jusque là, il sera trop tard."
Règle N° 2 : Les performances passées ne donnent aucune garantie d'un futur succès Ici, Godin explique le succès de l'industrie du disque. Pour lui, son essor, qui a commencé avec les Beatles et Bob Dylan, était lié à plusieurs facteurs. L'augmentation du pouvoir d'achat des jeunes issus de la génération des baby boomers, la naissance du rock, et l'invention du transistor. "En conséquence, l'industrie du disque construisit d'énormes systèmes. Elle créa une pléthore d'organisations, des grandes surfaces dédiées, une industrie du tour, des marges de profit extraordinaires, MTV, et bien plus encore. C'était un système bien huilé, mais la question clé est : méritait-elle de durer éternellement ? Et la réponse est non."
Règle N° 3 : Les DRM à l'âge numérique relèvent du fantasme de canaliser Cette règle reflète le paradoxe de l'industrie du disque, qui cherche à la fois l'ubiquité tout protégeant ses oeuvres de la copie. "L'industrie du disque est celle qui a dépensé des millions pour faire des vidéos (gratuites) sur MTV. Et maintenant que les transmissions deviennent numériques, elle a compris qu'il n'y avait pas beaucoup de raisons d'acheter une version numérique (via un processus gênant et cher) si elle était libre (et plus facile)." La solution, selon Godin, n'est pas de retirer les morceaux des canaux numériques, mais de changer le business model. "Vous aviez l'habitude de ventre du plastique et du vinyle. Maintenant, vous pouvez vendre de l'interactivité et des souvenirs."
Règle N° 4 : L'interactivité ne peut pas être copiée Le spécialiste marketing place ici l'aspect social de la musique au coeur des enjeux. "Les gagnants dans l'industrie du disque de demain seront les individus et les organisations qui créeront des communautés, connecteront les gens, répandront les idées." Voilà de quoi donner confiance aux labels communautaires qui émergent actuellement.
Règle N° 5 : L'autorisation est l'atout du futur Godin renvoie ici à un de ses concepts marketing, celui de l'autorisation, qu'il entend comme "la capacité (non pas le droit mais le privilège) de la prestation attendue, les messages personnalisés aux personnes qui veulent les obtenir. Pendant dix ans, l'industrie du disque a constamment évité cette possibilité." Contrairement à la plupart des musiciens, l'industrie du disque n'a selon lui qu'une vague idée des utilisateurs finaux. "Quand vous distribuez quelque chose numériquement, et gratuitement, cela s'ébruite (si c'est de qualité). Si ça s'ébruite, vous pouvez en profiter pour permettre aux gens de revenir vers vous et de s'enregistrer, de s'inscrire, de vous donner l'autorisation d'intéragir et de les garder dans l'engrenage." explique-t-il. "La plupart des auteurs (j'en fais parti) ont géré leur carrière entière autour de cette idée. Ayez donc des consultants en management et des vendeurs d'assurance. Pas en considérant la propagation d'artefacts comme une tactique inconvéniente, mais comme le coeur de leur nouveau business."
Règle N° 6 : Un consommateur effrayé n'est pas un consommateur heureux Ici, l'auteur fait clairement référence aux campagnes menées par la RIAA. "Si vous partez en guerre avec des centaines de vos clients chaque année, ne soyez pas surpris si ils vous traitent en ennemi."
Règle N° 7 : Le meilleur moment pour changer votre business model est quand vous avez encore l'élan pour le faire. Il n'est pas aisé pour un artiste émergeant de construire une carrière en auto-production, de trouver des fans et s'attirer un public, explique Godin. Mais c'est en revanche beaucoup plus facile pour une maison de disque avec un artiste vendeur. "Donc le moment de faire le saut était hier. Trop tard. D'accord, mais qu'en est-il aujourd'hui ? Au plus tôt vous le ferez, et le plus d'atouts et d'élan vous disposerez pour le faire marcher."
Règle N° 8 : Souvenez-vous de la règle de Bob Dylan : ce n'est pas juste un disque, c'est un mouvement "Ce qu'a fait Bob (et je pense qu'il l'a fait sincèrement et pas en tant que manoeuvre calculée) a été de chercher des groupes qui voulaient être connectés et de faire en sorte de devenir le point de convergence." Des mouvements anti-guerre aux fanboys d'Apple, Godin estime que l'industrie du disque se doit de trouver des points de ralliement. "Je pense que la même chose est valable pour les chefs, les religions, le caritatif, les politiciens et les fabricants de matériel médical. Les gens paient pour une histoire, systématiquement."
Règle N° 9 : Ne paniquez pas si le nouveau business model n'est pas aussi "propre" que l'ancien "Ce n 'est pas facile d'abandonner l'idée de fabriquer des CDs avec une marge sur le prix de gros de 90 %, et de changer pour un modèle dilué de concerts et de souvenirs, de communautés, de cartes de voeux, d'évènements spéciaux et que sais-je encore de gadgets. Passez au dessus. C'est la seule option si vous voulez rester dans ce business."
Règle N° 10 : Lisez les écritures sur les murs Une réponse indirecte faite à Doug Morris lorsque le PDG d'Universal avouait son incapacité à appréhender les nouvelles technologies. "Hé les gars, je ne suis pas dans l'industrie du disque et j'en parle depuis des années. J'ai même lancé un label de musique depuis cinq ans pour faire le point. Les industries ne meurent pas par surprise. Ce n'est pas comme si vous ne saviez pas ce qui allait arriver."
Règle N° 11 : N'abandonnez pas la longue traîne "Au plus vous essaierez de faire des hits, au moins vous arriverez à en faire." Pour Godin, la stratégie du hit mène l'industrie à sa perte. "Gardez vos dépenses basses et faites confiance à vos instincts, même si tout le monde dit que vous avez tord. Faites un bon boulot, pas quelque chose de parfait. Apportez des choses au marché, le vrai marché, et laissez-les trouver leur audience." C'est peut être le défaut que nous reprochions aux labels communautaires ; d'avoir un mode de fonctionnement qui induise de gros budgets de production et des artistes consensuels ; d'apporter une rationalité en délaissant les "coups de folie", et de finalement travailler sur des artistes qui correspondent au son du temps plutôt que d'aller chercher des choses que personne ne s'attend encore à entendre.
Règle N° 12 : La compréhension du pouvoir du numérique Pour l'auteur, l'industrie du disque n'a pas un système de commercialisation qui corresponde aux habitudes des gens, aux transactions électroniques, alors que de nombreux autres secteurs en ont un. "Peut être avez-vous besoin d'un business qui profite du numérique."
Règle N° 13 : La célébrité est sous-estimée "L'industrie musicale a toujours créé des célébrités. Et chaque célébrité a bénéficié pendant des décennies de cette renommée" explique Godin. Selon lui, de nombreuses entreprises ont maintenant le pouvoir de créer leurs propres micro-célébrités, "des personnes capables de capter l'attention et susciter la confiance, deux éléments essentiels dans la croissance des bénéfices".
Règle N° 14 : La valeur est crée quand vous partez de beaucoup à quelques uns, et vice-versa. "L'industrie musicale a des milliers de labels et des dizaines de milliers de titulaires de droits d'auteur. C'est du gâchis. Et il y a juste un iTunes Music Store. Le regroupement paie. En même temps, il y a d'autres industries où quelques acteurs majeurs profitent du marché en créant des niches."
Règle N° 15 : Dès qu'il est possible, vendez des abonnements S'inspirant du modèle économique des magazines, Godin vante les mérites des abonnements. L'opportunité pour l'industrie du disque est de combiner l'abonnement avec l'autorisation (voir concept décrit plus haut). "Les possibilités sont infinies. Et je sais que c'est dur à accepter, mais le bon vieux temps et bel et bien passé."


merci Ratatium

08 janvier 2008

Programme de l’émission JAZZ EN LIBERTE


Information Radio Libertaire (FM 89,4 MHz Paris Ile-de-France) Programme de l’émission JAZZ EN LIBERTE animée tous les mardis de 22 h 30 à 1 heure du matin par Gérard Terronès



Pour écouter Radio Libertaire en direct sur Internet, cliquer sur :

http://radio-libertaire.org:8080/radiolib



Mardi 8 janvier 2008 :

Autour de quelques saxophonistes altos


Ornette Coleman quintet en public (1958)

Max Nagl quartet (2001)

Henry Threadgill quintet (1996)



Eric Dolphy trio en public (1961)

Géraldine Laurent trio (2006)

Rob Brown trio (1989)



Frank Morgan quintet en public (1986)

Pierrick Pédron quartet (2000)

Charlie Parker quintet (1950)



Mardi 15 janvier :

Autour de quelques trompettistes


Miles Davis quintet en public (1964)

Médéric Collignon quartet (2004)

Wallace Roney quintet (1987)



Leo Smith quartet en public (1980)

Markus Stockhausen quartet (1988)

Alan Shorter quartet (1968)



Marvin Peterson quintet en public (1990)

Flavio Boltro quartet (2002)

Fats Navarro quintet (1947)



Mardi 22 janvier :

Autour de quelques saxophonistes ténors


John Coltrane quartet en public (1963)

Richard Raux quartet (1989)

Charles Lloyd quartet (1998)


Albert Ayler quintet en public (1970)

Evan Parker trio (1994)

Vinny Golia quintet (2001)


Jim Pepper quartet en public (1991)

Barney Wilen quartet (1990)

Wardell Gray quartet (1946)



Mardi 29 janvier :

Autour de quelques pianistes



Paul Bley quartet en public (1989)

Celea / Couturier / Humair trio (2007)

Roger Kellaway Cello Quartet (1970)


Tommy Flanagan trio en public (1986)

Michel Sardaby trio (1996)

Chick Corea trio (1981)


Kenny Barron / John Hicks quartet en public (1989)

Antoine Hervé trio (1995)

Thelonious Monk quartet (1957)



Radio Libertaire : radio-libertaire@federation-anarchiste.org

Fédération Anarchiste : www.federation-anarchiste.org

07 janvier 2008

L'abandon des DRM n'a pas sauvé Warner

Warner a connu une année 2007 catastrophique. Son action a perdu les trois quarts de sa valeur, alors, pour éviter de tomber encore plus bas, la major décidait d'abandonner les DRM. On aurait pu espérer que cette initiative stoppe, du moins pour un moment, son inexorable chute à Wall Street. Elle aurait pu même peut-être lui faire gagner quelques points auprès des anti-DRM acharnés, mais il n'en est rien. Son action tombe à 5,81 $, ce qui vient une nouvelle fois donner raison aux prévisions de l'analyste Richard Greenfield.

C'est le taux le plus bas qu'ait connue la major dans son histoire. Cela prouve aussi que DRM ou pas, les actionnaires ne croient plus au potentiel de la major. Pour regagner leur confiance, Warner devra faire bien plus que de céder sur ce terrain, et c'est tout son modèle économique qui doit être repensé. Mais y arrivera-t-elle ? Rien n'est moins sûr, surtout si l'on considère l'aveu d'échec auquel nous donnait droit son PDG Edgar Bronfman lors d'une conférence en novembre dernier. D'autre part, le sauvetage laborieux d'EMI par Terra Firma, qui connaît toutes les peines du monde à redresser la major, ne risque pas de pousser quiconque à tenter la même chose pour Warner. Rendons-nous à l'évidence, la major est en train de sombrer, et, à moins d'un miracle, tout n'est plus qu'une question de temps.



merci Ratatium

06 janvier 2008

THE FLAMINGOS "I Only Have Eyes For You"

Génialement kitsch :



La version des Platters:



La version de Peggy Lee (qui donne des frissons) :



la bio de Peggy ici

Belmondo and Lateef

En parlant des Belmondos que j'aime particulièrement :

Stevie Wonder : you will know

Je n'avais jamais entendu la version originale (cf la reprise de Lionel Belmondo) :

Prévoyez la mort de Amy Winehouse et gagnez un ipod !

Bo Diddley

il y a de l'ambiance !

04 janvier 2008

Les pétroliers, grands gagnants de la flambée du brut

Les compagnies pétrolières engrangent actuellement des profits record. En Bourse, sept d'entre elles trônent parmi les douze premières capitalisations mondiales.

L'article des Echos ici