28 novembre 2011
27 octobre 2011
Freud et Keynes
Une vidéo passionnante de l'économiste Bernard Maris :
Bernard Maris - Capitalisme et pulsion de mort par MinuitMoinsUne
Bernard Maris - Capitalisme et pulsion de mort par MinuitMoinsUne
26 octobre 2011
Dans les coulisses du Parlement européen…
Un député européen moyen gagne plus que la chancelière Merkel. Grâce à des combines (légales) qui permettent par exemple de s’enregistrer très tôt le matin pour percevoir son indemnité journalière… avant de s’en aller!
18 octobre 2011
Un ex-militaire en colère contre la violence des policiers à l'égard des indignés
Une scène intéressante, un changement de mentalité en direct (le doute des flics), un ancien soldat répète "ça ne vous rend pas fort de brutaliser ces gens, vous êtes des citoyens, si vous voulez vous battre allez en Irak" :
Occupy : un ex-militaire en colère contre la... par Nouvelobs
Ex-sergent dans le corps des Marine, Shamar Thomas a vivement interpellé samedi soir une unité de police chargée d’encadrer la manifestation "Occupy" à New-York.
L’ancien militaire a reproché la brutalité utilisée par les autorités pour mater les "indignés". "Ceci n’est pas une zone de guerre. Il n’y a aucune personne armée. Et ce n’est pas difficile pour vous de blesser les gens."
"Vous êtes censés nous protéger"
Shamar Thomas s’adresse plusieurs minutes durant aux neuf policiers qui lui font face et qui ne répliquent pas. "Vous êtes censés protéger (les manifestants). Vous êtes censés nous protéger. Si vous voulez blesser des gens, allez faire un tour en Irak", poursuit le soldat qui a lui-même combattu dans le pays ainsi qu’en Afghanistan.
L’homme avait revêtu sa veste de soldat avant de se rendre dans le quartier de Times Square. S’exprimant lundi à la télévision, il a expliqué qu’il s’agissait d’un geste symbolique pour inciter les autres vétérans à soutenir les indignés.
merci le nouvel obs
Occupy : un ex-militaire en colère contre la... par Nouvelobs
Ex-sergent dans le corps des Marine, Shamar Thomas a vivement interpellé samedi soir une unité de police chargée d’encadrer la manifestation "Occupy" à New-York.
L’ancien militaire a reproché la brutalité utilisée par les autorités pour mater les "indignés". "Ceci n’est pas une zone de guerre. Il n’y a aucune personne armée. Et ce n’est pas difficile pour vous de blesser les gens."
"Vous êtes censés nous protéger"
Shamar Thomas s’adresse plusieurs minutes durant aux neuf policiers qui lui font face et qui ne répliquent pas. "Vous êtes censés protéger (les manifestants). Vous êtes censés nous protéger. Si vous voulez blesser des gens, allez faire un tour en Irak", poursuit le soldat qui a lui-même combattu dans le pays ainsi qu’en Afghanistan.
L’homme avait revêtu sa veste de soldat avant de se rendre dans le quartier de Times Square. S’exprimant lundi à la télévision, il a expliqué qu’il s’agissait d’un geste symbolique pour inciter les autres vétérans à soutenir les indignés.
merci le nouvel obs
19 septembre 2011
25 août 2011
10 août 2011
Des états généraux du jazz ?
Un article et des réactions de lecteurs qui laissent rêveur...
A lire ici.
Hé les gars, c'est une musique qui est juste en train de disparaître faute d'une minuscule aide de l'état et d'endroits pour jouer ! Quand on voit comment la musique classique est soutenue et subventionnée, c'est révoltant.
Deux poids, deux mesures, à tous les échelons du systèmes, que ce soit les politiques culturelles, dans les conservatoires ou à l'université.
Il y a cependant des priorités culturelles encore plus affirmées en France : le ministère de la culture subventionne les concerts de Johnny résidant en suisse à hauteur d'un million d'euros. Argl !
Alain Minc : Le peuple est responsable de la crise !
Alain Minc - Le peuple est coupable de la crise par khalem2012
Serre les fesses alain, bientôt ça va être difficile de sortir ce genre de conneries.
26 juillet 2011
On a retrouvé le corium de Fukushima
On le sait, depuis le premier jour de la catastrophe de Fukushima, les trois cœurs des réacteurs ont fondu, formant le corium, agglomérat de combustible nucléaire, et d’éléments d’assemblage.
On sait qu’il atteint de très hautes températures ( 3000 °C) et peut faire fondre la plupart des matériaux. lien
On sait aussi que les cuves des réacteurs sont devenues des passoires, et que le corium s’est déjà attaqué à l’épaisse dalle de béton de 8 mètres d’épaisseur.
Logiquement cela ne devrait pas empêcher sa progression en direction du sol, une fois passé l’obstacle du béton, et le faire rencontrer à un moment à un autre, la nappe phréatique.
A ce moment, il y aura une explosion chimique avec un important dégagement de matières radioactives dans l’atmosphère.
La suite de l'article ici
Fukushima Radiation – Regional Effects Animation
On sait qu’il atteint de très hautes températures ( 3000 °C) et peut faire fondre la plupart des matériaux. lien
On sait aussi que les cuves des réacteurs sont devenues des passoires, et que le corium s’est déjà attaqué à l’épaisse dalle de béton de 8 mètres d’épaisseur.
Logiquement cela ne devrait pas empêcher sa progression en direction du sol, une fois passé l’obstacle du béton, et le faire rencontrer à un moment à un autre, la nappe phréatique.
A ce moment, il y aura une explosion chimique avec un important dégagement de matières radioactives dans l’atmosphère.
La suite de l'article ici
Fukushima Nuclear Radiation - Regional Effects from Rama Hoetzlein on Vimeo.
Fukushima Radiation – Regional Effects Animation
06 juillet 2011
La famille des supermarchés Leclerc
Les difficultés s’accumulent pour Bertrand Gobin, et son histoire prend des allures de combat de David contre Goliath. Journaliste indépendant, ce rennais de 47 ans a publié sur son blog une série de documents d’archives très embarrassants pour Edouard Leclerc, décoré de la légion d’honneur en décembre 2009. Le fondateur de la chaine de supermarchés aurait notamment livré des noms de résistants au chef de la Kommandantur locale, et se serait fait passer pour fou pour éviter d’être fusillé à la Libération.
L'article ici
L'article ici
05 juillet 2011
29 juin 2011
24 juin 2011
29 mai 2011
26 avril 2011
08 avril 2011
25 mars 2011
Preuve de la corruption des eurodéputés (en image)
Trois eurodéputés sont accusés par le Sunday Times d’avoir réclamé de l’argent pour déposer des amendements favorables au secteur bancaire. Des faits graves qui s’ajoute à une pratique courante à Bruxelles "peut-être le plus grand scandale de corruption de l’histoire du Parlement européen" Trois députés ont été pris la main dans le pot de confiture. Deux ont déjà démissionné.
Les enquêteurs se sont fait passer pour des lobbyistes travaillant pour une entreprise (fictive). Ils ont proposé à 60 eurodéputés ce marché : un poste de consultant, grassement rémunéré (jusqu’à 100 000 euros l’année), au sein d’un pseudo "Conseil d’experts internationaux", en échange du dépôt d’amendements favorables à l’industrie financière. Une quinzaine d’eurodéputés a mordu à l’hameçon et trois d’entre eux auraient joué le "jeu" jusqu’au bout.
Amendements clef en main
voir sur ce lien les details
c’est édifiant
http://fr.myeurop.info/2011/03/22/corruption-des-eurodeputes-pieges-par-de-faux-lobbyistes-1866
merci Agoravox
Les enquêteurs se sont fait passer pour des lobbyistes travaillant pour une entreprise (fictive). Ils ont proposé à 60 eurodéputés ce marché : un poste de consultant, grassement rémunéré (jusqu’à 100 000 euros l’année), au sein d’un pseudo "Conseil d’experts internationaux", en échange du dépôt d’amendements favorables à l’industrie financière. Une quinzaine d’eurodéputés a mordu à l’hameçon et trois d’entre eux auraient joué le "jeu" jusqu’au bout.
Amendements clef en main
voir sur ce lien les details
c’est édifiant
http://fr.myeurop.info/2011/03/22/corruption-des-eurodeputes-pieges-par-de-faux-lobbyistes-1866
merci Agoravox
18 mars 2011
06 mars 2011
GILLES DOSTALER (1946 – 2011), par Bernard Maris
Gilles Dostaler m’avait réconcilié avec l’économie. Avec quelques autres, René Passet, François Morin, Jean-Pierre Dupuy, mais c’est surtout lui qui m’avait relevé du dégoût de l’économie dans lequel j’étais tombé, en ces temps d’imbécillité et d’arrogance pseudo-mathématique qui triomphait dans les années 80-90 (et dont on a vu récemment les conséquences dans les théories mathématiques des marchés financiers). Gilles aimait l’économie et les économistes. Il travaillait alors à un livre avec Michel Beaud sur les économistes postérieurs à Keynes. Il connaissait bien les économistes du « circuit » comme on dit, mais il ne pouvait, dans notre discipline, que se consacrer à la pensée économique. La pensée économique est le refuge, le lieu de résistance de ceux qui croient encore que l’économie puisse avoir une vocation culturelle et sociale ; quand on ne veut pas mourir idiot en parlant d’économie, on s’intéresse à la pensée des grands auteurs, et d’abord ceux du passé. Les lecteurs d’Alternatives Economiques connaissent ses belles chroniques – et, que les cuistres se rassurent : Gilles savait ce qu’était un point fixe, et pouvait faire sur la nappe en papier d’un restau la démonstration d’existence d’un équilibre de Walras. Comme tous les « frondeurs » de notre génération, Gilles fut nourri de la Sainte Trinité, Nietzsche, Marx, Freud. Et très vite il fut ébloui par Keynes. Il éprouva, je crois, une passion pour cet auteur, au point d’aller méditer dans sa maison aujourd’hui occupée par l’historien Skidelsky. C’est de cette passion commune que naquit notre amitié. Keynes nous sauvait, Gilles et moi, moi plus que lui, de la tristesse dans laquelle nous plongeait l’économie orthodoxe, ses prix dits « Nobel », ses experts en ignorance, ignorance dont se délectaient, pour la diffuser, la quasi-totalité des journalistes qui véhiculaient la pensée dominante du laissez-faire. Des gens qui n’avaient évidemment pas lu Adam Smith. Gilles, lui, l’avait labouré. Comme il avait labouré Hayek et m’avait convaincu de le lire.
Avant les autres (peu nombreux il est vrai), Gilles fit cette découverte, un vraie découverte : on ne peut pas comprendre la pensée monétaire de Keynes sans savoir qu’il l’avait formulée à partir des intuitions et analyses freudiennes sur l’argent ; notamment le célèbre chapitre 12 de la Théorie Générale sur la spéculation, ni les conclusions de la Théorie Générale (les références à Sylvio Gesell et à la notion de « monnaie affectée », impropre à l’accumulation, par exemple). Nous écrivîmes sur Keynes et Freud, et c’est moi qui le poussait à écrire « Capitalisme et pulsion de mort ». Il rechignait à le faire, parce qu’il était plus un homme de colloques et d’articles savants. Je n’ai jamais connu personne plus précise, plus minutieuse, plus honnête dans ses références. Quand j’affirmais « les hommes ont inventé la guerre pour rester entre hommes », il écrivait : « Lia disait à l’Ange dans Sodome et Gomorrhe, que « les hommes ont inventé la guerre pour y être sans nous et entre hommes » (Giraudoux, 1951, p.130). Tout Gilles. L’homme le plus drôle, le plus charmant, le plus gai, le plus rieur et buveur se mettait à sa table de travail tous les matins à 6 heures. Il la quittait à midi. Après un moment très épicurien, très keynésien au sens de Bloomsbury – art, politique, sexe, médisance – où l’on pratiquait le « gossiping », il partait « moissonner » : il écumait les librairies et revenait avec une cargaison de livres.
Il connaissait les vins. Il aimait la chasse, la pêche et la corrida. Il était fou de corrida, nobody is perfect. Il aimait sa belle province. Je crois qu’il a regretté que le Quebec ne devînt pas libre, quand il faillit le devenir, à quelques voix près. Chaque année, avec Marielle sa femme, il pêchait un saumon (il n’avait pas droit à deux saumons). Encore un travers très keynésien, c’était un voyageur. Alors qu’il connaissait Paris mieux que moi (il y avait vécu plus de deux ans dans les merveilleuses années révolutionnaires, il y revenait constamment) il fut très étonné que le gouvernement français lui cherche des poux dans la tête pour venir enseigner à Paris 8 et Toulouse 1. Il fit les démarches. Mais il fallut au bout du compte une intervention de son ambassade pour qu’il puisse venir enseigner. Douce France…
Tiens, quand on allait le visiter à Montréal, après quelques verres et beaucoup de gai savoir, il précisait que sa maison fut « close », il y a longtemps. Que ce type était gai ! « Keynes et ses combats », traduits en plusieurs langues est un très grand livre. Gilles un grand économiste et un homme de la vie, tellement loin du robot rationnel des économistes…
Merci Paul Jorion
Avant les autres (peu nombreux il est vrai), Gilles fit cette découverte, un vraie découverte : on ne peut pas comprendre la pensée monétaire de Keynes sans savoir qu’il l’avait formulée à partir des intuitions et analyses freudiennes sur l’argent ; notamment le célèbre chapitre 12 de la Théorie Générale sur la spéculation, ni les conclusions de la Théorie Générale (les références à Sylvio Gesell et à la notion de « monnaie affectée », impropre à l’accumulation, par exemple). Nous écrivîmes sur Keynes et Freud, et c’est moi qui le poussait à écrire « Capitalisme et pulsion de mort ». Il rechignait à le faire, parce qu’il était plus un homme de colloques et d’articles savants. Je n’ai jamais connu personne plus précise, plus minutieuse, plus honnête dans ses références. Quand j’affirmais « les hommes ont inventé la guerre pour rester entre hommes », il écrivait : « Lia disait à l’Ange dans Sodome et Gomorrhe, que « les hommes ont inventé la guerre pour y être sans nous et entre hommes » (Giraudoux, 1951, p.130). Tout Gilles. L’homme le plus drôle, le plus charmant, le plus gai, le plus rieur et buveur se mettait à sa table de travail tous les matins à 6 heures. Il la quittait à midi. Après un moment très épicurien, très keynésien au sens de Bloomsbury – art, politique, sexe, médisance – où l’on pratiquait le « gossiping », il partait « moissonner » : il écumait les librairies et revenait avec une cargaison de livres.
Il connaissait les vins. Il aimait la chasse, la pêche et la corrida. Il était fou de corrida, nobody is perfect. Il aimait sa belle province. Je crois qu’il a regretté que le Quebec ne devînt pas libre, quand il faillit le devenir, à quelques voix près. Chaque année, avec Marielle sa femme, il pêchait un saumon (il n’avait pas droit à deux saumons). Encore un travers très keynésien, c’était un voyageur. Alors qu’il connaissait Paris mieux que moi (il y avait vécu plus de deux ans dans les merveilleuses années révolutionnaires, il y revenait constamment) il fut très étonné que le gouvernement français lui cherche des poux dans la tête pour venir enseigner à Paris 8 et Toulouse 1. Il fit les démarches. Mais il fallut au bout du compte une intervention de son ambassade pour qu’il puisse venir enseigner. Douce France…
Tiens, quand on allait le visiter à Montréal, après quelques verres et beaucoup de gai savoir, il précisait que sa maison fut « close », il y a longtemps. Que ce type était gai ! « Keynes et ses combats », traduits en plusieurs langues est un très grand livre. Gilles un grand économiste et un homme de la vie, tellement loin du robot rationnel des économistes…
Merci Paul Jorion
08 décembre 2010
Sécu : vers une réduction des taux de remboursement ?
Selon un projet de décret, le gouvernement souhaite abaisser de 5 points de plus que prévu le taux de remboursement des médicaments à vignettes bleues.
La tonte continue, l'article ici
La tonte continue, l'article ici
Plus révolutionnaire que l'appel d'Eric Cantona : changer de banque
L'appel d'Eric Cantona à retirer son argent des banques a relancé le débat sur la façon dont chaque citoyen-consommateur peur peser sur le monde de la finance. L'eurodéputé Pascal Canfin (Europe Ecologie-Les Verts) et le collectif "Sauvons les riches" ont ainsi lancé un site, jechangedebanque.org, afin d'aider la migration vers une banque plus responsable. "Nous préférons que nos économies soient gérées par des banques qui investissent l'épargne localement, ne participent pas au casino financier, refusent d'être présentes dans les paradis fiscaux et de verser des bonus indécents", affirment les fondateurs du site.
Trois banques font l'objet d'une recommandation : la Nef, suivie du Crédit coopératif, puis de la Banque postale. Le site publie également un mode d'emploi des formalités à accomplir.
Même démarche du côté de l'association Attac, qui appelle les citoyens à "favoriser l'émergence de banques alternatives, solidaires et écologiquement responsables", et recommande le guide préparé par "Les Amis de la terre". Cette association se fait le chantre de la "finance solidaire". Elle a réalisé un classement des banques en prenant en compte des critères environnementaux, ce qui l'amène à recommander elle aussi la Nef et le Crédit coopératif.
L'article complet du nouvel obs ici
Trois banques font l'objet d'une recommandation : la Nef, suivie du Crédit coopératif, puis de la Banque postale. Le site publie également un mode d'emploi des formalités à accomplir.
Même démarche du côté de l'association Attac, qui appelle les citoyens à "favoriser l'émergence de banques alternatives, solidaires et écologiquement responsables", et recommande le guide préparé par "Les Amis de la terre". Cette association se fait le chantre de la "finance solidaire". Elle a réalisé un classement des banques en prenant en compte des critères environnementaux, ce qui l'amène à recommander elle aussi la Nef et le Crédit coopératif.
L'article complet du nouvel obs ici
07 décembre 2010
L'argent et la dette
L'Argent Dette 2 : Promesses Chimériques 2010 FR intégral
envoyé par bankster2008. - L'info video en direct.
Lenine
Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie.
Maurice Allais,
Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.
Henry Makow
Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.
Mécanique de l’argent moderne,
Banque de Réserves Fédérale de Chicago.
Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques... les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent.
Woodrow Wilson,
ancien président des Etats-Unis
Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive... Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement.
John Kenneth Galbraith,
économiste
Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est tellement simple que l’esprit en est dégoûté.
Graham F. Towers
gouverneur de la Banque du Canada 1934-54
Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l’argent tout neuf.
Napoléon Bonaparte,
Empereur Français (1769-1821)
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. [...] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
David Rockefeller,
Commission Trilatérale, 1991
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
Rothschild Brothers of London
Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts
William Lyon Mackenzie King,
ex-premier ministre du Canada
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
Abraham Lincoln,
président des Etats-Unis, assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
James A. Garfield,
président des Etats-Unis, assassiné
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce... et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
John Adams,
père fondateur de la Constitution américaine
Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.
Woodrow Wilson,
président des Etats-Unis 1913-1921
Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.
Benjamin Franklin
L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance.
Sir Josiah Stamp,
Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941
(Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)
Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
Léon Tolstoï
L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition
Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté.
Lord Acton,
Lord Chief Justice of England, 1875
Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques.
Sir Josiah Stamp,
Governor of Bank of England, 1920
Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent.
M. Phillip A. Benson,
Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939
Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire).
Andrew Gause,
historien de la monnaie
Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants.
Irving Fisher, économiste et auteur
Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas.
Marriner S. Eccles,
gouverneur et président du CA de la Fed
S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent.
Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis
Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité.
Rothschild
Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.
Charles A. Lindbergh
Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi.
Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.
American’s Bulletin
Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou .... la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée
Henry Ford
La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire
Louis McFadden
Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits,
Fed, Atlanta, Géorgie
Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi.
1924 US Banker’s Association Magazine
Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli.
Wright Patman,
membre démocrate du Congrès, 1928-1976
président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent... Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
L'Argent Dette 2 : Promesses Chimériques 2010 FR intégral
envoyé par bankster2008. - L'info video en direct.
Lenine
Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie.
Maurice Allais,
Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.
Henry Makow
Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.
Mécanique de l’argent moderne,
Banque de Réserves Fédérale de Chicago.
Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques... les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent.
Woodrow Wilson,
ancien président des Etats-Unis
Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive... Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement.
John Kenneth Galbraith,
économiste
Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est tellement simple que l’esprit en est dégoûté.
Graham F. Towers
gouverneur de la Banque du Canada 1934-54
Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l’argent tout neuf.
Napoléon Bonaparte,
Empereur Français (1769-1821)
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. [...] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
David Rockefeller,
Commission Trilatérale, 1991
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
Rothschild Brothers of London
Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts
William Lyon Mackenzie King,
ex-premier ministre du Canada
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
Abraham Lincoln,
président des Etats-Unis, assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
James A. Garfield,
président des Etats-Unis, assassiné
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce... et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
John Adams,
père fondateur de la Constitution américaine
Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.
Woodrow Wilson,
président des Etats-Unis 1913-1921
Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.
Benjamin Franklin
L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance.
Sir Josiah Stamp,
Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941
(Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)
Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
Léon Tolstoï
L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition
Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté.
Lord Acton,
Lord Chief Justice of England, 1875
Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques.
Sir Josiah Stamp,
Governor of Bank of England, 1920
Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent.
M. Phillip A. Benson,
Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939
Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire).
Andrew Gause,
historien de la monnaie
Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants.
Irving Fisher, économiste et auteur
Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas.
Marriner S. Eccles,
gouverneur et président du CA de la Fed
S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent.
Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis
Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité.
Rothschild
Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.
Charles A. Lindbergh
Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi.
Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.
American’s Bulletin
Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou .... la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée
Henry Ford
La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire
Louis McFadden
Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits,
Fed, Atlanta, Géorgie
Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi.
1924 US Banker’s Association Magazine
Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli.
Wright Patman,
membre démocrate du Congrès, 1928-1976
président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent... Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
12 novembre 2010
10 novembre 2010
Images de dévastation à Detroit aux USA : merci la finance
Le berceau de l’industrie américaine a perdu de son faste, tout son faste pour devenir le plus grand ghetto au monde avec le taux de criminalité le plus haut de tous les USA, Motor City est devenue une ville presque fantôme ressemblant plus à Bagdad, Beyrouth Grosnie ou Tchernobyl qu’à ce qu’on imagine du pays le plus riche du monde.
La grande majorité de la population a fui mais les plus pauvres ont dû rester, pour survivre ils plantent des légumes dans les friches industrielles ou chassent dans les parcs publics car il n’y a plus de supermarché ni d’épicerie.
Un reportage hallucinant sur Arte :
La grande majorité de la population a fui mais les plus pauvres ont dû rester, pour survivre ils plantent des légumes dans les friches industrielles ou chassent dans les parcs publics car il n’y a plus de supermarché ni d’épicerie.
Un reportage hallucinant sur Arte :
01 novembre 2010
Gérald Dahan hallucinant !
Gérald Dahan
envoyé par franceinter. - Plus de vidéos fun.
il est viré le lendemain par Philippe Val !
27 octobre 2010
Frédéric Lordon aux économistes atterrés
Économistes atterrés: Frédéric Lordon
envoyé par BTrenaissance. - L'actualité du moment en vidéo.
Le 9 octobre 2010, Frédéric Lordon s’exprimait au colloque des économistes atterrés.
Tous les économistes ne vont pas à la soupe médiatico-oligarchique. Quand on a trié les sincères naïfs et les vils bonimenteurs, il nous reste une poignée d’économistes courageux qui ont décidé de défendre leurs conclusions malgré le black-listage et la diabolisation systématiques.
Leur manifeste se trouve ici.
01 octobre 2010
09 septembre 2010
08 septembre 2010
La manipulation économique des 30 dernières années
Grand article, sans doute l'un des meilleurs de l'année, et cela sur tous ceux que j'aie pu voir: la preuve par A+B+C qu'un système a été mis en place pour capturer l'argent des classes moyennes, et cela dès les années 60. Résultat, si en 1960 1% de la population avait 9% des flux financiers, en 2010, ce même 1% dispose de presque 30% de toutes les richesses créées. C'est clair, net et précis. Et c'est pire que ce que vous pensez... Ainsi, un ouvrier des années 50 gagnait bien plus qu'aujourd'hui, et, en plus, il était le seul à travailler, madame était à la maison. Puis, dans les années 70, sa paye n'a plus suffi, et madame s'est mise à travailler pour gagner/retrouver le même pouvoir d'achat que dans les années 60. Perdant le pouvoir d'achat à nouveau dans les années 90, les ménages se sont alors endettés pour retrouver le même niveau, une sorte d'illusion achetée à crédit. Aujourd'hui pour retrouver le même niveau d'achat, les enfants restent chez les parents et partagent les dépenses...
Merci Pierre Jovanovic
L'article complet dont il est question ici
Tout le monde en parle !
Le karma de N.Sarkozy s’exprime ironiquement depuis ce week-end. Le gouvernement français, dont le budget est pourtant en fort déficit, achète fréquemment des mots-clés pour effacer les traces des bavures et des scandales qui rythment les agissements de cette oligarchie. Récemment, le parti qui gère l’argent du contribuable en France avait acheté les mots-clés "Bettencourt" et "affaire Bettencourt" sur Google.fr. Cependant, il arrive quand on joue avec le feu, que l’arroseur finisse par être arrosé. Du coup, si vous tapez « trou du cul » sur le moteur de recherche Google, vous aboutirez à la page officielle de N.Sarkozy sur Facebook, mais dépêchez-vous, celui-ci s’empressera certainement de dépenser vos impôts pour rétablir sa sainte image.
la suite ici
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06 septembre 2010
Tapez "trou du cul" dans google
Et quelle est la première page sur laquelle on tombe ?
La page de notre président !
Cela va fonctionner peu de temps, profitez-en.
Merci le nouvel obs pour cette info capitale.
01 septembre 2010
Les entreprises du CAC 40 ont presque doublé leurs profits
Le profit agrégé des quarante premières capitalisations de la Bourse de Paris a atteint 41,6 milliards d'euros au premier semestre, soit une hausse de 86% sur un an.
On voit où est le pognon !
l'article du nouvel obs ici
On voit où est le pognon !
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